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L'inFO du 62

Flash inFO 3 juin 2025
Temps partiels
Après avoir obtenu la possibilité de temps partiel pour toutes et tous sans restriction, le SNUDI-FO s'est adressé par courrier le 7 mai au DASEN pour lui demander que tous les temps partiels soient accordés, notamment dans une circonscription du Littoral qui comptait 6 refus sur 7 demandes. 
Le Dasen nous a écoutés et nous a signifié sa réponse positive : "après réexamen de la situation, j'ai décidé d'accorder les demandes de temps partiels initialement refusées pour l'année 2025-2026".
Le SNUDI-FO 62 est à vos côtés pour défendre VOS intérêts dans toutes les situations! 
Respect des droits, droit au respect !

Soutien à notre collègue
Une collègue de Sens est suspendue après avoir, à la demande de ses élèves, fait observer une minute de silence après les massacres à Gaza.
Extraits de notre communiqué

(...) Cette suspension est brutale et injustifiée. L’ouverture d’une enquête disciplinaire à son encontre est abusive.

Cet hommage ne révèle aucune rupture avec son devoir de neutralité.

Le massacre d’une population, notamment d’enfants, interpelle forcément chaque enseignant.

Ce n’est pas un avis politique, c’est un fait. Amnesty International, Human Right Watch, l'historien israélien Amos Golberg (titulaire de la chaire d'études sur la Shoah à l'Université Hébraïque de Jérusalem), entre autres, s'accordent même pour qualifier les événements de Gaza de génocide.

Le SNUDI-FO 62 demande :
• La réintégration immédiate de notre collègue
• La levée de toute procédure disciplinaire à son encontre
• La reconnaissance officielle de sa dignité et de son intégrité professionnelle.

 

Cette mesure répressive s’inscrit dans un climat inquiétant de restriction de la liberté d’expression.

Nous refusons que la solidarité et l'empathie soient criminalisées.


Nous affirmons notre solidarité avec tous les personnels de l’Éducation, lycéens et étudiants qui, partout en France, se mobilisent pour faire entendre leur voix contre les guerres, les massacres et les injustices.

Rassemblement de soutien mercredi 4 juin

14h30, Rectorat


RIS : dernière date
Retrouvez-nous en RIS pour une dernière date le 10 juin à Longfossé, à partir de 17h

Mérite-t-on (nous aussi) des bash ?
Macron et son gouvernement illégitime usent et abusent des enfumages pour cacher leur incompétence et le bilan catastrophique de 8 années de règne passées à briser toutes les conquêtes sociales, à tenter de pulvériser nos statuts et à gaver d'argent public les patrons du CAC40 et les établissements privés où la violence est institutionnalisée.
Bientôt, une "convention citoyenne" devrait se réunir. 
Un seul but: se livrer à un énième prof-bashing avec une idéologie et des arguments directement empruntés au troquet du coin après un apéro qui aurait trop duré : "les profs ne bossent pas assez, ils sont trop payés" et autres billevesées.
Conséquence attendue : la destruction de nos statuts, l'inflation du temps de travail.
Comme toujours, ils nous trouveront sur leur route !
Nos revendications sur le temps de travail demeurent :
=> semaine de 4 jours partout
=> 36 semaines de classe
=> fin de l'année le 30 juin
=> aucun service de travail obligatoire gratuit (journée de solidarité ou autre).

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Flash inFO 3 juin 2025
Temps partiels
Après avoir obtenu la possibilité de temps partiel pour toutes et tous sans restriction, le SNUDI-FO s'est adressé par courrier le 7 mai au DASEN pour lui demander que tous les temps partiels soient accordés, notamment dans une circonscription du Littoral qui comptait 6 refus sur 7 demandes. 
Le Dasen nous a écoutés et nous a signifié sa réponse positive : "après réexamen de la situation, j'ai décidé d'accorder les demandes de temps partiels initialement refusées pour l'année 2025-2026".
Le SNUDI-FO 62 est à vos côtés pour défendre VOS intérêts dans toutes les situations! 
Respect des droits, droit au respect !

Soutien à notre collègue
Une collègue de Sens est suspendue après avoir, à la demande de ses élèves, fait observer une minute de silence après les massacres à Gaza.
Extraits de notre communiqué

(...) Cette suspension est brutale et injustifiée. L’ouverture d’une enquête disciplinaire à son encontre est abusive.

Cet hommage ne révèle aucune rupture avec son devoir de neutralité.

Le massacre d’une population, notamment d’enfants, interpelle forcément chaque enseignant.

Ce n’est pas un avis politique, c’est un fait. Amnesty International, Human Right Watch, l'historien israélien Amos Golberg (titulaire de la chaire d'études sur la Shoah à l'Université Hébraïque de Jérusalem), entre autres, s'accordent même pour qualifier les événements de Gaza de génocide.

Le SNUDI-FO 62 demande :
• La réintégration immédiate de notre collègue
• La levée de toute procédure disciplinaire à son encontre
• La reconnaissance officielle de sa dignité et de son intégrité professionnelle.

 

Cette mesure répressive s’inscrit dans un climat inquiétant de restriction de la liberté d’expression.

Nous refusons que la solidarité et l'empathie soient criminalisées.


Nous affirmons notre solidarité avec tous les personnels de l’Éducation, lycéens et étudiants qui, partout en France, se mobilisent pour faire entendre leur voix contre les guerres, les massacres et les injustices.

Rassemblement de soutien mercredi 4 juin

14h30, Rectorat


RIS : dernière date
Retrouvez-nous en RIS pour une dernière date le 10 juin à Longfossé, à partir de 17h

Mérite-t-on (nous aussi) des bash ?
Macron et son gouvernement illégitime usent et abusent des enfumages pour cacher leur incompétence et le bilan catastrophique de 8 années de règne passées à briser toutes les conquêtes sociales, à tenter de pulvériser nos statuts et à gaver d'argent public les patrons du CAC40 et les établissements privés où la violence est institutionnalisée.
Bientôt, une "convention citoyenne" devrait se réunir. 
Un seul but: se livrer à un énième prof-bashing avec une idéologie et des arguments directement empruntés au troquet du coin après un apéro qui aurait trop duré : "les profs ne bossent pas assez, ils sont trop payés" et autres billevesées.
Conséquence attendue : la destruction de nos statuts, l'inflation du temps de travail.
Comme toujours, ils nous trouveront sur leur route !
Nos revendications sur le temps de travail demeurent :
=> semaine de 4 jours partout
=> 36 semaines de classe
=> fin de l'année le 30 juin
=> aucun service de travail obligatoire gratuit (journée de solidarité ou autre).

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